Après une perte de temps incroyable pour trouver le stationnement et les informations contradictoires des résidents on se prépare. Il semble que l'idée d'apporter une lampe de poche de plus, soit un peu overkill selon mes deux partners. On fait le plein d'eau (il va falloir apporter encore plus d'eau la prochaine fois qu'il fait aussi chaud) et on part. Ce secteur des Adirondacks est beaucoup moins fréquenter car on ne rencontre pas beaucoup de monde mais le sentier est très beau et facile. Le sentier longe la Lower Ausable qui est très belle avec ses petits endroits propices pour la baignade et ses minis chutes. En route on croise même une belle chute de 75' !!! Magnifique, mais on apprend aussi que si on veut faire un petit détour, il est possible de voir une chute de 150'. On si dirige avec célérité, c'est dans un coin perdu du bois, rien ne permettait de se douter qu'il y avait une si belle chute à cet endroit. Bref, après un tournant on l'appercoit, elle est fabuleuse, c'est la Rainbow Waterfall, on prend beaucoup de photos, on se mouille et mes deux comparses font le plein d'eau.
Deux clichés de la RainBowa Waterfall
Une fois dépassée la grande chute, on ne croisera presque plus personne, il faut dire que nous sommes assez loin du stationnement et que nous sommes partie, une fois de plus, assez tard. On atteint le premier sommet soit Sawteeth, qui est très beau, ça nous donne une tout autre vue on vois les même montagnes que d’habitude mais de l’autre coté c’est spécial… on en profite pour manger au somment en contemplant la vue… Il semble que papa ours ait été prévoyant en apportant du papier cul, heureusement que mon bouchon scout à tenue bon car mes comparses l’on oublier au sommet. On se met en route pour l’autre sommet mais la confusion règne entre les faux sommets et les vrais sommets… Finalement on a confondu Pyramid peak avec Gothic. Bref on refait la photo de sommet question d’intégrité… pendant ce temps la mes deux confrères sont à quatre pattes en train de faire le plein de sucre dans les plans de bleuets. Le sommet d’Armstrong nous cause quelques problèmes d’identification et d’estimation du temps…
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’impression que l’on va revenir à la brunante. Donc les pauses se font beaucoup plus rapide et l’eau commence à manquer. Je m’étais gardé un ¼ de litre d’eau au cas ou l’un deux nous serait plus capable, car je réalise très bien que ce n’est pas au sommet que l’on va trouver une source. On repart donc pour le quatrième sommet le Upper Wolf Jaw qui lui aussi se révèle être plus loin que l’on pense… on décide même de ne pas faire le cinquième sommet qui est pourtant pas très loin question de pas trop se faire « surprendre » par la noirceur.
Rapidement lors de la descente le ciel s’obscurcie… comble de malheur, il n’y a pas de lune. Avec un peu de chance, on va apercevoir les perséides mais c’est beaucoup trop nuageuxL. Après une bonne heure de marche on atteint une source, on en profite pour refaire le plein d’eau et pour faire une petite trempêtte rapide sous une mini chute. Rapidement on manque de lumière et nous sommes obliger de sortir mes 2 lampes de poches que je traînais pour rien. Le seul hic c’est que les deux sont sur des vielles piles et ont beaucoup servie lors de mon camp éclaireur. Je décide donc de leur laisser une lampe et je les suis à l’arrière sans lampe de poche en utilisant mes bâtons de marche. C’est un peu moins vite mais au moins on ne se retrouvera pas pris sans lampe de poche à 2 heures du stationnement. Ça marche un peu moins vite mais les yeux s’habituent rapidement à la noirceur et j’arrive à les suivre, de toute façons le chemin n’est pas assez large pour marcher trois de large. Aussi drôle que ça puisse paraître, je crois que je suis sortie moins souvent du sentier qu’eux. Ceci étant dit je ne conseille à personne de s’aventurer en forêt sans lampe de poche… c’est le meilleur moyen pour se perdre. Je sens que J à un peu la trouille… est-ce la noirceur, l’épuisement, ou encore les ours. À une demi heure du stationnement j’ai allumé la seconde lampe de poche et ça nous a permis d’accélérer le pas. Nous avons laisser J à l’hôtel et moi et Claude on est parie chercher le véhicule question de pas perdre trop de temps car il se fait déjà tard.
Nous sommes donc revenue à la noirceur, on a fait une petite pause crème glacer question de respecter la tradition mais surtout de manger un petit quelque chose car la rando a été très longue. Peut après, les orages on commencés, on était bien content d’être sortis du bois et de les subir dans le confort relatif de Paplouff en attendant une fois de plus au douane.
Cette randonnée m’a rappeler une escapade sur le Pinacle ou j’avais oublier d’apporter une lampe de poche et ou j’ai descendu à la chandelle. J’avais oublier a quel point c’est agréable de marcher le soir sous les étoiles C’est tellement tranquille, on se sent comme un minuscule magicien qui visite un pays féerique à la lueur de sa baguette magique. Ceci étant dit, je crois que certaines personnes ont retenue la leçon et vont ajouter dorénavant une lampe de poche à leur liste d’équipements et ce, même pour les randonnées d’une journée.
Rapidement lors de la descente le ciel s’obscurcie… comble de malheur, il n’y a pas de lune. Avec un peu de chance, on va apercevoir les perséides mais c’est beaucoup trop nuageuxL. Après une bonne heure de marche on atteint une source, on en profite pour refaire le plein d’eau et pour faire une petite trempêtte rapide sous une mini chute. Rapidement on manque de lumière et nous sommes obliger de sortir mes 2 lampes de poches que je traînais pour rien. Le seul hic c’est que les deux sont sur des vielles piles et ont beaucoup servie lors de mon camp éclaireur. Je décide donc de leur laisser une lampe et je les suis à l’arrière sans lampe de poche en utilisant mes bâtons de marche. C’est un peu moins vite mais au moins on ne se retrouvera pas pris sans lampe de poche à 2 heures du stationnement. Ça marche un peu moins vite mais les yeux s’habituent rapidement à la noirceur et j’arrive à les suivre, de toute façons le chemin n’est pas assez large pour marcher trois de large. Aussi drôle que ça puisse paraître, je crois que je suis sortie moins souvent du sentier qu’eux. Ceci étant dit je ne conseille à personne de s’aventurer en forêt sans lampe de poche… c’est le meilleur moyen pour se perdre. Je sens que J à un peu la trouille… est-ce la noirceur, l’épuisement, ou encore les ours. À une demi heure du stationnement j’ai allumé la seconde lampe de poche et ça nous a permis d’accélérer le pas. Nous avons laisser J à l’hôtel et moi et Claude on est parie chercher le véhicule question de pas perdre trop de temps car il se fait déjà tard.
Nous sommes donc revenue à la noirceur, on a fait une petite pause crème glacer question de respecter la tradition mais surtout de manger un petit quelque chose car la rando a été très longue. Peut après, les orages on commencés, on était bien content d’être sortis du bois et de les subir dans le confort relatif de Paplouff en attendant une fois de plus au douane.
Cette randonnée m’a rappeler une escapade sur le Pinacle ou j’avais oublier d’apporter une lampe de poche et ou j’ai descendu à la chandelle. J’avais oublier a quel point c’est agréable de marcher le soir sous les étoiles C’est tellement tranquille, on se sent comme un minuscule magicien qui visite un pays féerique à la lueur de sa baguette magique. Ceci étant dit, je crois que certaines personnes ont retenue la leçon et vont ajouter dorénavant une lampe de poche à leur liste d’équipements et ce, même pour les randonnées d’une journée.
Pour terminer, deux photos de notre vaillant et sexy photographe, je vous invite à consulter ses photos
3 commentaires:
Pour se qui est des sortis de pistes, je tiens a dire Jo était derrière nous et que nous ouvrions le chemin. Et Nous nous sommes tromper une seul foid pour nous corriger immédiatement... alors PFAH!
Étrange ma mémoire doit me jouer des tours. Effectivement ca aidait de vous avoir en avant, je me rapelle m'etre trompé une fois.
en effet, et puis ma crainte était que l'Aigle se pète de quoi et qu'on soit vraiment pris dans le bois... mais il VOULAIT PAS L'ALLUMER, sa lampe, le p'tit maudit!!!
Ah, et ces photos de C. en shorts... j'en frissonne... :)))))
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